mercredi, janvier 31, 2007

SEMAINE 19 / mercredi 31 janvier 2007 (JPP)

- écriture Grosgurin : page 6 "h - l'hiver - l'herbe"

Sur ce cahier, pour la première fois, quelques élèves peuvent écrire à l'encre (stylo bic ou plume d'acier). Certains écoliers ont encore un tracé hésitant ou imparfait ; ceux-là utiliseront le crayon à mine 2B pendant quelques semaines supplémentaires.

Là, il faut expliquer aux enfants qu'étant tous nés en 2000 et cette année rassemblés dans notre classe pour y suivre un même cours préparatoire, ils n'en sont pas moins hautement singuliers.

Le maître et la maîtresse forment d'un même mouvement un groupe d'enfants dont chacun individuellement a pourtant ses rythmes propres. Former veut dire ici donner une forme. Par exemple former à l'écriture manuscrite est enseigner à se conformer à une norme, un canon (tenue de l'outil, choix d'une réglure, calibrage des lettres, souplesse des jambages, respect du sens des boucles, etc).

Au CP, se prennent les habitudes -bonnes ou mauvaises- que l'on retrouvera toute sa vie. L'effort kinesthésique demandé aux apprentis scribes est énorme ; prendre son temps donc, ne rien contraindre mais corriger par touches successives.

"Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage..."

- lecture Delile : page 32 "on de ballon". Lecture individuelle de tous les élèves.
+ découverte de la page 33 "le g de gâteau"
Comme la lettre c, la lettre g sert à représenter 2 sons. Il faut d'abord apprendre à lire les mots avec le son "g" de gare où le g est toujours suivi d'une des trois lettres : a - o - u.

- arithmétique : le litre (suite). Sur l'ardoise et au tableau noir, exercices n° 4, 5, 6, 7 page 37

- lecture Gafi : page 91 "ette - elle - erre"

- fichier Gafi : page 91 n° 5 et 6

- vocabulaire : Jules nous apporte une image de Janus évoqué hier. retour rapide sur les douze mois de l'année, déclinés dans l'ordre et à rebours.

070131 campagne Jeunesse au Plein Air

du 17 janvier au 11 février 2007 la Jeunesse au Plein Air sollicite le concours des familles dans une campagne de solidarité (pour aider les enfants de familles en difficulté à partir en vacances).

Des vignettes sont vendues au prix de 2 €.

mardi, janvier 30, 2007

SEMAINE 19 / mardi 30 janvier 2007 (JPP)

- mise à jour emploi du temps
aucun changement dans l'organisation de la classe mais l'ancien emploi du temps distribué aux élèves datait de la rentrée et était largement transformé.

- écriture Grosgurin : "une brebis broute l'herbe abondante."

- lecture Delile : page 32 "le on de ballon". Lecture individuelle à haute voix. Je rappelle que les lectures Delile du soir doivent toujours être faites à haute voix.

- conjugaison : reprise orale du présent du verbe chanter (indicatif)

- mathématiques : fichier page 71 "Le tableau à double entrée."
(leçon rendue très accessible grâce à l'initiation à la bataille navale menée préalablement par Mme Massias.)

- Histoire de France : Les Huns dévastaient tout. Les Francs commandés par leur roi Mérovée s'unirent aux Gaulois et aux Romains pour chasser Attila.

- analyse : "le maître gronde l'élève paresseux."
MFR page 25 n° 72 (le nom, l'adjectif et le verbe - révisions)

- lecture Gafi : page 90 "La vaisselle"

- fichier Gafi : page 90

- arithmétique : page 36 "le litre"
Pour mesurer la capacité ou contenance des vases, des bouteilles, des cuves, etc, ainsi que pour mesurer le volume d'un liquide, des graines, etc, on emploie pour unité principale le litre. Présentation d'un litre en bois.
Exercice n° 1 page 36 et , pour les rapides n° 2 page 37

- vocabulaire : 1.) Tristan et Iseult.
Chapitre 2 "les enfances de Tristan"
Chapitre 3 "le combat du morholt"

2.) Demain sera le dernier jour du mois de janvier qui célèbre Janus, divinité aux deux visages. L'un tourné vers 2006 (le passé) et l'autre vers 2007 (l'avenir).

Buste romain de Janus, Musée du Vatican.

Montrez cette image à vos enfants si vous avez internet à la maison : nous n'avons toujours pas d'accès dans les classes ...

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TRAVAIL en FAMILLE

Pour mercredi 31 janvier 2007 (avec JPP)
- lecture Delile page 32

Pour jeudi 1 février 2007 (avec JPP)
- lecture Delile page 33
- dictée : Étape 6 n° 10 "rené a su lire, il a étudié."

070130 LIENS ÉDUCATION NATIONALE

Lettre électronique "Questions d'éducation"

- éditorial du ministre
- calcul (les recommandations de l'Académie des Sciences)
- circulaire de rentrée 2007
- ambition réussite
- enseignants handicapés
- info flash (rugby, lutte contre le tabagisme, lire et faire lire)
- infos académies

lundi, janvier 29, 2007

SEMAINE 19: Lundi 29 janvier (D.M)

- Livre Gafi p 88, 89
- Fichier Gafi p 88, 89
- Maths : "Fais le point" p 70
- Ecriture: p 5: sabots, bobine, abeilles
- Vivre ensemble : apprendre à respecter son propre corps avec des règles de santé : hygiène, sommeil, sport, alimentation.
- Dictée : savoir écrire les nombres de 0 à 10 en lettres.
- EPS: gymnastique ( pour se préparer à l'évaluation, vos enfants ont une feuille récapitulant tous les exercices ).
- Sciences: mettre en évidence l'existence de l'air par des expériences : mise en commun des résultats + schémas.


Devoir :
Lecture : revoir p 88-89 du livre Gafi.

samedi, janvier 27, 2007

070127 CALCUL à l'ÉCOLE PRIMAIRE (L. Lafforgue)

LE CALCUL À L'ÉCOLE PRIMAIRE

par Laurent Lafforgue (avec le concours de nombreux instituteurs et professeurs du GRIP et d'ailleurs)


Texte rédigé en janvier 2007 avec le concours d'instituteurs praticiens et de professeurs de différentes disciplines. Il a été écrit en réaction à un "avis" sur le même sujet préparé par une sous-commission de l'Académie des sciences à la demande du ministre de l'Éducation nationale et voté le 9 janvier. Voici le résumé de cet avis destiné à la presse avec les commentaires personnels de L. Lafforgue (en rouge). Et voici l'avis lui-même avec d'autres commentaires personnels de Laurent Lafforgue.


1.) Objectifs et limites de l'apprentissage du calcul à l'école primaire

L'objectif est de faire acquérir aux élèves la connaissance des nombres entiers naturels (0,1,2,3...), de leur écriture décimale et de leurs relations élémentaires (ordre et quatre opérations), à la fois abstraitement et dans leurs usages concrets liés au comptage et à la mesure : longueurs, surfaces, volumes, masses, temps, angles. A l'issue du cursus primaire, les élèves doivent posséder une maîtrise aisée, exacte et sûre des opérations élémentaires sur les nombres et les grandeurs et de la manipulation des unités ; ils doivent aussi savoir rédiger de façon concise et rigoureuse la solution de problèmes de calcul formulés dans la langue courante, tirés de la vie pratique, des sciences de la nature ou de la mécanique, et nécessitant un raisonnement de nature discursive.
Ces connaissances – dont la plupart sont très utiles – ont une grande valeur mathématique ainsi qu'une puissance formatrice considérable.
Elles permettent de construire une relation d'intimité avec les nombres, selon l'expression de René Thom, et entraînent à leur usage concret. Non seulement elles contribuent à structurer l'esprit tout au long de son développement mais elles constituent la base indispensable d'un apprentissage plus poussé des mathématiques et des sciences de la nature, au collège et bien au-delà. Il existe en mathématiques bien des sortes de nombres, d'additions et de multiplications, et en physique bien des sortes de mesures. Toutes prennent racine et se développent sur ce terreau qu'est la connaissance des nombres entiers naturels et de leurs opérations élémentaires, connaissance qui doit devenir une seconde nature.

A l'école primaire la discipline du calcul repose sur l'usage des quatre opérations sur les nombres entiers. Elle s'étend à la connaissance et au calcul des nombres décimaux et des fractions, en se limitant aux nombres positifs qui seuls peuvent représenter des mesures effectives de longueurs, de masses, etc. Le calcul approché est plus subtil que le calcul exact dont il demande la maîtrise préalable : le calcul des intervalles d'erreurs ne saurait apparaître à l'école primaire mais on y enseigne – notamment pour la résolution des problèmes – l’estimation mentale des ordres de grandeurs par les nombres ronds et la notion de valeur approchée d’un quotient au dixième ou au centième de l’unité choisie.
Le calcul se fait sur des nombres, non sur des inconnues abstraites. Les vérifications portent sur des exemples et des figures, dans des raisonnements suffisants pour emporter la conviction même s'ils ne peuvent être qualifiés de démonstrations formelles. En fin de cursus primaire l'instituteur peut éventuellement aller un peu plus loin dans le sens de l'abstraction, pour ceux des élèves qu'il reconnaîtrait comme assez mûrs et déjà assurés dans leurs connaissances.


2.) Principes généraux pour l'apprentissage du calcul à l'école primaire [1]

L'intimité avec les nombres se construit :
– par l'acquisition d'automatismes (au premier rang desquels figure la connaissance parfaite des tables d'addition et de multiplication, ainsi que la pratique des algorithmes de calcul écrit et de calcul mental des quatre opérations),
– par la diversification des situations (en particulier, la manipulation des nombres et les opérations sur eux, à la fois dans différents contextes concrets où interviennent des grandeurs physiques, et abstraitement),
– par la multiplicité des exemples d'application (comme la connaissance d'un bon nombre de formules de surfaces et de volumes), dont on montre à la fois ce qu'ils ont en commun et ce par quoi ils diffèrent,
– par la diversification des approches (par exemple, le calcul mental et le calcul posé comme deux modes du calcul),
– et par la constitution d'un réseau de liens (par exemple, la correspondance entre l'écriture décimale et les systèmes de multiples et de sous-multiples des unités de mesures usuelles, ou bien l'équivalence entre les deux écritures d'un nombre décimal, celle avec virgule et celle comme fraction avec une puissance de 10 pour dénominateur).

Le maître mot de l'apprentissage du calcul – comme de tout apprentissage – est la progressivité : on chemine du plus simple vers le plus élaboré, en particulier des petits nombres vers des plus grands, et des figures géométriques les plus élémentaires vers d'autres plus complexes, sans brûler aucune étape. Les notions nouvelles doivent être introduites l'une après l'autre, en s'appuyant sur les connaissances déjà acquises ainsi que sur l'intuition. De même, les liens nouveaux entre des notions déjà connues doivent être mis en évidence un par un. Autrement dit, les élèves doivent toujours savoir exctement de quoi l'instituteur est en train de parler. Toute introduction d'une notion nouvelle ou d'un lien nouveau est l'occasion de faire des rappels ; il ne faut pas manquer de procéder à tous ceux qui s'imposent naturellement dans le contexte considéré.
Toute notion ou toute pratique nouvelle est désignée par un ou plusieurs termes mathématiques précis (par exemple pour la multiplication, les notions de multiplicande, de multiplicateur et de produit, et pour la division, celles de dividende, de diviseur, de quotient et de reste) qu'on introduit aussitôt ; les élèves doivent les apprendre.

Le développement des mathématiques est en partie fondé sur le besoin de systématisation de l'esprit humain : un ensemble de connaissances qui pousse jusqu'au bout sa logique sous-jacente est plus satisfaisant pour l'esprit et plus aisé à comprendre et à assimiler. Respecter ce principe dans une discipline telle que le calcul élémentaire facilite l'apprentissage et renforce l'exigence logique des enfants. C'est pourquoi les élèves doivent connaître en fin de cursus primaire les algorithmes généraux des quatre opérations sur les nombres, sans limitation sur le nombre de chiffres. C'est aussi pourquoi on enseigne les fractions, qui permettent de diviser un nombre quelconque par un autre.
Chaque fois que l'esprit peut en retirer une plus grande complétude, on met en évidence des couples de notions : par exemple, l'addition et la soustraction vues comme deux opérations inverses, de même que la multiplication et la division.


3.) Numération, comparaison des nombres et apprentissage des quatre opérations

L'apprentissage de la numération et celui des quatre opérations sont simultanés ; ils commencent dès la fin de l'école maternelle ou le début du CP, en se limitant d'abord aux nombres très petits.
Le cheminement vers des nombres de plus en plus grands doit s'effectuer très progressivement. Les étapes les plus importantes qui le ponctuent sont l'introduction des dizaines et de la première écriture décimale, puis des centaines, puis le développement de cette écriture avec les classes des milliers, des millions, etc.
Dès le début de l'apprentissage, la numération et les opérations doivent porter sur plusieurs types d'objets familiers aux enfants, en répétant inlassablement que l'on ne peut additionner ou soustraire que des objets de même nature. Le lien avec les nombres abstraits se fait en multipliant des exemples concrets formellement identiques.
L'addition est d'abord introduite comme un ajout (qui augmente le nombre), la soustraction comme un retrait (qui le fait diminuer), la multiplication comme un ajout répété de paquets identiques et la division comme un partage en paquets égaux.


4.) Calcul mental et calcul posé

Le calcul mental et le calcul posé doivent être introduits et pratiqués très tôt, en commençant sur des petits nombres. Dans la mesure où cela ne nuit pas à la bonne habitude de préférer le calcul mental au calcul écrit chaque fois que cela est possible, il paraît bon d'accoutumer les élèves à poser les quatre opérations même lorsqu'ils ne connaissent encore que des nombres à un seul chiffre.
Dès le cours élémentaire, le développement du calcul mental et du calcul posé exige de connaître par coeur les tables d'addition et de multiplication complètes, jusqu'au point où elles fonctionnent aussi bien comme des tables de soustraction et de division, y compris quand la division ne tombe pas juste. Il exige aussi des exercices nombreux et réguliers qui consolident et entretiennent les automatismes. S'agissant d'opérations faisant intervenir au moins un nombre à deux chiffres, il est bon de vérifier un certain nombre de fois que le calcul mental et le calcul posé (qui ne procèdent pas de la même façon) aboutissent aux mêmes résultats.

La maîtrise des algorithmes des quatre opérations posées est un objectif essentiel.
Le plus riche est celui de la division. (Lequel ? demandera-t-on, car il y en a plusieurs. Il est raisonnable de conserver celui qui a été enseigné si longtemps et si utilement dans les écoles primaires.) Le mettre en oeuvre avec succès suppose la connaissance parfaite des tables et la maîtrise des autres opérations, du calcul mental et d'une forme de calcul approché (pour deviner chaque nouveau chiffre du quotient). Quand une classe a assimilé l'algorithme général de la division, il suffit de donner plusieurs fois par semaine en exercice une ou deux divisions posées pour maintenir la pratique des quatre opérations à un bon niveau.
Il faut connaître les divisions avec reste et celles avec développement décimal après la virgule.
A l'occasion, on demande de « faire la preuve d'une division » en multipliant le diviseur par le quotient puis en ajoutant le reste. C'est une vérification pratique du sens de la division comme de l'exactitude de l'algorithme : il est bon que les élèves vérifient autant que possible la cohérence des résultats qu'ils obtiennent et des méthodes qu'ils emploient.
On habitue les élèves à vérifier que l'ordre de grandeur du résultat d'une multiplication ou d'une division est correct (par calcul mental sur des nombres ronds – c'est-à-dire à un seul chiffre suivi de zéros – qui approchent ceux donnés au départ).
On apprend aussi la « preuve par 9 » comme autre moyen de vérification partielle du résultat d'une opération.


5.) Calcul et mesures

On enseigne la mesure des longueurs et celle des masses en même temps qu'on introduit les unités physiques, leurs multiples et sous-multiples. Le principe de systématisation impose d'enseigner aussi les multiples et sous-multiples (comme le décamètre) qui n'appartiennent plus au langage courant.
L'apprentissage des multiples de ces unités est l'occasion d'introduire ou de consolider la connaissance de l'écriture décimale, et celle de leurs sous-multiples de la compléter par l'introduction des chiffres après la virgule. On étend aux nombres décimaux avec virgule la pratique des quatre opérations et de la comparaison entre les nombres.
A partir de mesures concrètes et en se limitant à tel ou tel sous-multiple ou, ce qui revient au même, à tel chiffre après la virgule, on introduit la notion de valeur approchée.
On enseigne et on vérifie concrètement avec les élèves que les longueurs et les masses s'additionnent. On insiste sur le fait que, en revanche, on ne peut pas additionner des grandeurs de natures différentes et que l'on ne peut effectuer l'opération numérique que si ces grandeurs sont exprimées dans la même unité.
On introduit aussi le système plus complexe des unités de temps (seconde, minute, heure, jour, mois, année) et on entraîne les élèves à additionner ou soustraire des intervalles de temps, et à multiplier ou diviser une durée par un nombre.


6.) Calcul et géométrie

On dit que la surface d'une figure plane est égale au nombre de carrés, dont le côté mesure une unité, nécessaires pour la recouvrir en s'autorisant des découpages. On vérifie avec les élèves que la surface d'un rectangle dont les mesures des côtés sont des nombres entiers est le produit de sa longueur et de sa largeur. En procédant à des découpages dans des cas particuliers, on vérifie les formules de calcul de la surface des triangles, parallélogrammes, losanges et trapèzes. On explique que la règle des découpages signifie que les surfaces s'additionnent.
On explique la formule permettant de calculer la surface du disque, et on présente une valeur approchée du nombre π. On enseigne la mesure des angles (en degrés) et le calcul par des formules de la circonférence d'un cercle et de la longueur d'un arc de cercle. On fait comparer les résultats obtenus par le calcul avec les mesures effectuées sur des figures (au moyen d'une ficelle). On fait vérifier que les mesures d'angles et d'arcs de cercle s'additionnent. On définit le périmètre des autres figures planes étudiées et on explique comment le calculer.
On insiste sur la règle générale qu'une formule de calcul d'une surface fait toujours intervenir le produit de deux longueurs. On explique que multiplier toutes les longueurs par un même nombre a pour effet de multiplier les surfaces par le carré de ce nombre. C'est l'occasion d'introduire la notion de carré d'un nombre.
On enseigne les unités de surface déduites des unités de longueur.

On dit que le volume d'une figure spatiale est égal au nombre de cubes, dont le côté mesure une unité, nécessaires pour le remplir en s'autorisant des découpages. On vérifie avec les élèves que le volume d'un parallélépipède droit est le produit de ses trois longueurs suivant les trois dimensions de l'espace. On enseigne les formules de calcul du volume des parallélépipèdes rectangles, pyramides, cylindres, cônes et sphères.
On explique les formules permettant de calculer le volume intérieur et la surface d'une sphère. On définit la surface totale des autre figures spatiales étudiées, et on explique comment la calculer.
On explique que les volumes s'additionnent et on insiste sur la règle générale qu'une formule permettant le calcul d'un volume fait toujours intervenir le produit de trois longueurs ou, ce qui est équivalent, le produit d'une surface et d'une longueur. On explique que multiplier toutes les longueurs par un même nombre a pour effet de multiplier les volumes par le cube de ce nombre. C'est l'occasion d'enseigner les puissances cubiques d'un nombre.
On enseigne les unités de volume déduites des unités de longueur.

On définit le litre comme le volume d'un cube dont le côté mesure un décimètre. Le volume équivaut alors à la contenance : il s'évalue en mesurant la quantité de liquide nécessaire pour le remplir – s'il s'agit d'un objet creux –, ou celle qu'il déplace – s'il s'agit d'un objet plein que l'on plonge dans un récipient.
On enseigne que le kilogramme est la masse d'un litre d'eau.

Il faut exiger des élèves que, lorsqu'ils parlent de grandeurs physiques, ils n'oublient jamais de préciser les unités de mesure.


7.) Quels objets et instruments dans la classe ?

Dans la société actuelle, la plupart des élèves passent chaque jour des heures devant divers écrans qui sollicitent violemment et exclusivement la vue et l'ouïe ; les mains restent inactives ou n'agissent que par l'intermédiaire d'une console ou d'un clavier. Cela rend difficile pour les enfants d'acquérir le sens du réel et tend à les enfermer dans un monde virtuel et simpliste.
L'école doit corriger ces influences. C'est pourquoi ni l'ordinateur – dont les écoliers ne peuvent à leur âge apprendre la programmation –, ni les autres écrans n'ont leur place à l'école primaire.
Les calculatrices sont à exclure comme instruments d'apprentissage du calcul. L'expérience montre que, lorsque les élèves sont autorisés à en amener en classe, la plupart d'entre eux abusent de son usage trop facile et presque magique, ce qui hypothèque gravement leur apprentissage du calcul, voire des tables d'addition et de multiplication. Il vaut donc mieux proscrire la calculatrice avant l'âge où, autrefois, les élèves apprenaient à se servir d'une règle à calcul.

Au contraire, on doit saisir toutes les occasions pour que les enfants manipulent des objets concrets et familiers en liaison étroite avec l'apprentissage des nombres et de leurs opérations. Cela est très naturel quand il s'agit de compter, de calculer et de mesurer.
Pour l'apprentissage de la numération et des opérations sur les petits nombres, il faut que les enfants comptent et regroupent ou séparent en petits paquets des objets qu'ils manipulent avec leurs mains. Le boulier est un outil pédagogique très efficace et il s'utilise même avec des grands nombres ; il est souhaitable que les enfants apprennent à s’en servir.
Il est impératif que l'apprentissage des mesures, de leurs propriétés et de leurs relations mutuelles s'accompagne toujours de nombreuses manipulations concrètes sur des objets. On veillera à ce que les élèves aient à disposition doubles ou triples décimètres, mètres souples et rigides, décamètres d'arpentage, balances et boîtes de masses marquées, figures planes en bois ou en plastique, équerres, compas, rapporteurs, papier quadrillé et ciseaux pour dessiner et découper les figures dont on cherche à calculer la surface, corps solides de toutes les formes étudiées permettant – par immersion dans l'eau – de vérifier les formules de calcul des volumes, corps solides de différentes densités.


8.) Les nombres et l'économie domestique

Un autre usage concret des nombres, de leur comparaison et des opérations sur eux intéresse directement les enfants et gagnera de l'importance avec l'âge : c'est la comptabilité des prix et de l'argent.
Calculer le prix de paniers de produits divers est l'occasion de faire des additions et des multiplications dès lors qu'on raisonne sur des quantités.
Le système des pièces, avec lequel les enfants sont très tôt familiers, permet d'introduire dès le cours élémentaire le système décimal jusqu'à deux chiffres après la virgule.
Les notions de prix d'achat, de frais, de prix de revient, de prix de vente, de remise, de bénéfice, de taxe et, plus tard, d'intérêt simple donnent l'occasion non seulement d'additionner et de soustraire des nombres mais aussi d'introduire la notion de pourcentage. On explique la signification littérale de l'expression « pour cent unités », faisant apparaître le pourcentage comme un premier type de fraction, avec 100 au dénominateur.
On entraîne les élèves à passer d'un taux exprimé en pourcentage à une somme monétaire comme partie d'une somme totale, et inversement. C'est une première famille d'exemples de proportionnalité.


9.) Proportionnalité

La règle de trois doit être sue par coeur. Son application, qui ne se résume pas à un pur automatisme, est un raisonnement déjà complexe qui suppose de comprendre le fonctionnement et la signification de la notion de proportionnalité. Il faut entraîner à l'employer dans des situations concrètes variées, dont voici des exemples importants :
– ceux de la vie courante (calcul des matériaux nécessaires pour des travaux, des ingrédients d'une recette de cuisine, etc.),
– les conversions de mesures résultant d'un changement d'unité,
– les changements d'échelle pour la représentation des distances sur une carte géographique,
– la proportionnalité de la masse avec le volume pour un corps de composition donnée (avec les notions de masse volumique et de densité),
– à vitesse constante, la proportionnalité de la distance parcourue avec le temps de parcours,
– à débit constant d'une rivière ou d'un robinet, la proportionnalité du volume déversé avec le temps,
– le partage en parts égales de divers types d'objets.

10.) Arithmétique

Le partage en parts égales et les différents exemples de proportionnalité rencontrés et examinés sont l'occasion d'introduire les fractions, quotients de deux nombres entiers appelés numérateur et dénominateur.
On montre par divers exemples quelles sont les conditions d'égalité de deux fractions : le résultat d'une fraction ne change pas quand on multiplie ou divise le numérateur et le dénominateur par un même entier. La notion de divisibilité d'un entier par un autre en découle naturellement, puis celle de « PGCD » qui permet de réduire une fraction à sa forme la plus simple.
On introduit la notion de nombre premier et entraîne les élèves à reconnaître si un petit nombre est premier ou pas.
On enseigne comment multiplier et diviser les fractions, puis comment les additionner et les soustraire, par réduction au même dénominateur. On introduit de cette façon la notion de multiple puis, au nom d'un souci d'économie, celle de « PPCM ».
On donne de nombreux exercices pour mettre en oeuvre ces pratiques et comprendre de manière approfondie ces notions. Pour tout ce qui touche aux fractions à l'école primaire, il est préférable de se cantonner à des petits nombres – même s'il doit être clair qu'il n'y a pas de limite à la taille du numérateur et du dénominateur d'une fraction.
On exerce les élèves à développer une fraction en un nombre décimal, en leur montrant la périodicité du développement obtenu, expliquée par la répétition d’une même situation dans le processus de division.

11.) La rédaction comme partie essentielle de la solution des problèmes

Dès le début de l'apprentissage du calcul, il faut veiller à obtenir des élèves le plus grand soin dans l'écriture quand ils posent une opération sur le papier.
De même, dès que l’on peut formuler une question de calcul dans une phrase simple parlant de situations et d'objets concrets, c’est-à-dire très tôt, on doit exiger d’eux qu'ils présentent leur résultat et leur calcul dans une phrase correctement rédigée.
La complexité des questions doit croître très progressivement, jusqu'à requérir des élèves un raisonnement relativement élaboré et structuré et donc la composition de plusieurs phrases enchaînées de présentation et de narration.
Le but de l'enseignement du calcul à l'école primaire est d'apprendre à résoudre des petits problèmes simples, tirés de la vie pratique, des sciences de la nature ou de la mécanique, formulés dans la langue courante, ne comportant qu'une seule question et qui utilisent les mesures de grandeurs physiques connues, les conversions de mesures, les changements d'échelle et la proportionnalité. A l'issue du cursus primaire, l'élève doit être devenu capable de trouver par lui-même les étapes du raisonnement nécessaire à la solution d'un tel problème simple et de les exposer.
Une très grande importance doit être accordée à la rédaction des solutions qui permet la maîtrise complète du problème que l’on traite. Il faut exiger de l'élève qu'il rédige son texte de façon à se comprendre lui-même et comme s'il s'adressait à quelqu'un qui ne connaîtrait pas la solution et à qui il s'agirait de l'expliquer. Les phrases doivent être correctes du point de vue de la langue, et employer le vocabulaire précis de la vie pratique, des mathématiques et de la mécanique élémentaires, des grandeurs physiques, de leurs mesures et de leurs unités. Elles doivent n'oublier aucun argument et s'enchaîner logiquement.

Ce lien entre le calcul, le raisonnement et la langue écrite est décisif, à la fois dans la perspective d'un apprentissage plus avancé des mathématiques et des sciences de la nature, et pour la formation et la structuration générales de l'esprit.

[1] La mise en oeuvre efficace de ces principes demande une grande régularité dans les leçons et du temps : il faut rétablir les horaires de mathématiques – comme ceux de français et des autres disciplines à enseigner sérieusement – qui ont prévalu dans les écoles primaires jusqu'en 1969. Les activités (sorties à répétitions, « animations pédagogiques » diverses, venue d'intervenants extérieurs, stages et réunions à répétitions) qui réduisent les horaires de ces disciplines doivent être proscrites. Le principe de découper l'année scolaire par quatre périodes de vacances de deux semaines est sans doute à remettre en cause.
D’autre part la formation des futurs instituteurs demande une refonte totale. Les prétendues « sciences de l’éducation » qui dominent les IUFM ne permettent pas de donner aux futurs instituteurs des connaissances mathématiques (et autres) suffisantes ni ne les forment à enseigner de manière rigoureuse, structurée et progressive.

vendredi, janvier 26, 2007

SEMAINE 18: Vendredi 26 janvier (D.M)

- Livre Gafi p 87
- Fichier Gafi p 87
- Ecriture : p 5 : un arbre, une robe, une table.
- Fichier maths : p 69 : avancer ou reculer sur la droite numérique. + terminer p 63
- Calcul : dictée de nombres écrits en lettres puis inversement.
- EPS : gymnastique
-Arts plastiques : étude de peintures pariétales : que peignent les hommes préhistoriques, avec quoi et de quelle manière ? Pourquoi peignent-ils ?
- Musique : apprendre la suite de la comptine sur les droits des enfants.

Devoirs pour Lundi 29 janvier :
- Revoir p 87 du livre Gafi.
- Dictée : savoir écrire en lettres les chiffres de 0 à 10.

Penser à remplir la feuille de renseignement ( page du samedi ) pour Mme Assoune.

jeudi, janvier 25, 2007

SEMAINE 18 / jeudi 25 janvier 2007 (JPP)

- écriture Grosgurin : page 4 "un bol - le bec - un bébé"

- lecture Delile : page 31 "b de biche" + découverte page 32 "on de bonbon"
Présentation de la règle orthographique "devant les lettres m, b, p, on met généralement un m au lieu d'un n. Exemples : la tombola - une pompe - une colombe

- maths : fichier page 68 les nombres 11, 12 et 13

- conjugaison : le présent du verbe chanter + révision pronoms personnels
1è personne du singulier -> je chante - E
2è personne du singulier -> tu chantes - ES
3è personne du singulier -> il, elle chante - E
1è personne du pluriel ->nous chantons - ONS
2è personne du pluriel -> vous chantez - EZ
3è personne du pluriel -> ils, elles chantent - ENT

Ce travail est fait oralement d'après lecture de la conjugaison écrite au tableau noir par le maître.

- lecture Gafi : page 86 "Le rêve de Mélanie (2)

- fichier Gafi : page 86

- dessin (4 étapes) : le bonhomme de neige

- récitation : la neige (A. de Vigny), apprentissage collectif des 4 premiers vers.

- arithmétique : Comptage de 10 en 10
1 dix - 2 dix (ou vingt) - 3 dix (ou trente) - ... jusqu'à 10 dix (ou 1 cent).

- mesure des longueurs: LE MÈTRE.
Exercice n°2 page 35 pour tous
+ exercice n° 4 page 35 pour les rapides.

Exercice oral avec ardoise : n° 5 page 35
Thérèse et Denise mettent deux ficelles bout à bout. L'une mesure 3 m et l'autre 5 m. Quelle est la longueur totale de la ficelle ?

Les élèves écoutent attentivement la lecture de l'énoncé du problème ; ils écrivent sur leur ardoise 3 m + 5 m = 8 m
Ils traduisent ainsi "mettre bout à bout = ajouter, donc addition"

Le maître relit la question et un élève interrogé répond : "la longueur totale de la ficelle est 3 m + 5 m = 8 m"


n° 7 page 35 (idem)
Un tronc d'arbre mesure 9 m de long. Le bûcheron en coupe 4 m. Quelle est la longueur restante ?

Les élèves écrivent sur leur ardoise 9 m - 4 m = 5 m
Ils ont compris que si le bûcheron coupe l'arbre, la longueur du tronc diminue, donc soustraction.
Le maître relit la question et un élève interrogé répond : "la longueur restante du tronc est 9 mètres - 4 mètres = 5 mètres.

Cette façon de procéder doit amener les élèves à distinguer la solution (une phrase bien rédigée qui annonce l'opération et son résultat) du calcul proprement dit.
Au troisième trimestre les problèmes seront souvent résolus à l'écrit, avec la même exigence de rédaction.


- Histoire de France : Sainte Geneviève rassure les Parisiens.
La Gaule envahie par les Huns venus d'Asie. Leur chef Attila, ...
Sur la carte de Gaule nous cherchons Paris (Lutèce), la Seine, Orléans.

- piscine : séance annulée en raison du froid

- vocabulaire : le maître raconte l'histoire du petit Poucet. L'épisode des bottes de 7 lieues permet de parler de la naissance du système métrique qui harmonise les unités de mesure.

Un mètre étalon, encore visible au 36 rue de Vaugirard, à Paris
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TRAVAIL en FAMILLE

pour vendredi 26/01 (avec DM)
- lecture Gafi page 86

pour mardi 30/01 (avec JPP)
- lecture Delile page 32 (1/2 page ou page entière selon la force)
- récitation : la neige (à savoir par cœur entière)
- arithmétique : n° 3 page 35 (Le mètre)
4m + .... m = 7 m
2 m + .... m = 6 m
etc

mercredi, janvier 24, 2007

070124 CALCUL MENTAL

Lu dans LE FIGARO du jour

un article de Marie-Estelle PECH.
Publié le 24 janvier 2007

Le calcul mental conseillé dès la maternelle.

Constatant le faible niveau dans les collèges et lycées, les auteurs du rapport insistent sur la précocité de l'apprentissage du calcul.
Constatant le faible niveau dans les collèges et lycées, les auteurs du rapport insistent sur la précocité de l'apprentissage du calcul.

Après la lecture et la grammaire, Gilles de Robien s'attaque aux mathématiques.

LE MINISTRE de l'Éducation nationale, Gilles de Robien, l'a assuré hier : il va mettre en place pour 2007 un apprentissage des quatre opérations dès la maternelle, et introduire quinze à vingt minutes de calcul mental par jour.
Cette réforme sera officialisée en février par une circulaire. Le ministre s'appuiera sur un rapport de spécialistes de l'Académie des sciences sur l'enseignement du calcul, qui lui a été remis hier. Le texte défend la nécessité d'introduire simultanément les quatre opérations dès le début du primaire et si possible dès l'école maternelle. Pour l'un des rédacteurs, Jean-Pierre Demailly, si le ministre suivait les recommandations des spécialistes, il faudrait cependant « former massivement les maîtres » à ces nouvelles directives, car « cela fait trois ou quatre décennies que le calcul est mal enseigné ».
Les spécialistes s'appuient sur le constat qu'à l'issue du collège et du lycée, les élèves possèdent une « insuffisante maîtrise du calcul, dont les fondements se mettent en place à l'école primaire ». Pour l'Académie, l'enseignement du calcul doit commencer par la pratique simultanée de la numération et des opérations élémentaires. Les ex­perts plaident pour une introduction « aussi précoce que possible d'une certaine pratique des quatre opérations ».
«Mise en place d'automatismes»
Des expérimentations scolaires récentes montreraient en effet que cela est possible dès la grande section de l'école maternelle pour les très petits nombres. « Nul n'ignore que le problème du partage des bonbons se pose dès l'école maternelle et constitue un apprentissage de la division ! », assurent-ils. « Les liens entre géométrie et calcul doivent aussi être introduits très tôt dans l'enseignement élémentaire », soutient le document qui recommande aussi « une bonne maîtrise de la règle de trois en fin de primaire ».
Les auteurs ne dénigrent pas la calculette « qui fait aujourd'hui partie du quotidien ». « Néanmoins son usage ne saurait en aucun cas se substituer à l'apprentissage du calcul. » Et ils recommandent de faire manipuler précocement des objets au parfum bien nostalgiques comme les cubes, les bouliers et autres boîtes de masses « qui développent utilement la compréhension des nombres et des calculs ». Les scientifiques estiment par ailleurs indispensables et complémentaires les différentes pratiques de calcul : mental, posé, approché, exact et instrumenté. Enfin, ils proposent d'enseigner le calcul en « contact étroit » avec les autres matières. Le rapport insiste sur la nécessaire « mise en place d'automatismes » dans le domaine du calcul, mais aussi sur le besoin de maintenir constamment ces calculs en liaison avec la résolution de « problèmes concrets ».
Autant d'appréciations qui laissent de marbre les syndicats d'enseignants. « On enseigne déjà le calcul mental et les quatre opérations en primaire », assure ainsi Luc Berille, secrétaire général du SE-Unsa, qui dénonce « un faux procès supplémentaire » contre les enseignants, après les débats soulevés par les réformes de l'enseignement de la lecture et de la grammaire.

mardi, janvier 23, 2007

SEMAINE 18 / mardi 23 janvier 2007 (JPP)

- Quelques photos

- écriture Grosgurin : page 4 "b - bleu - blanc"

- dictée : Victor a lavé le pavé. Il a vu le navire.

- lecture Gafi : page 85 "ai - ei"

- fichier Gafi : pages 84 et 85

- maths : fichier page 66 "Tracés à la règle (2) et page 67 "Somme de deux nombres"
Je déconseille vivement le "surcomptage" tel qu'il est présenté sur ce fichier et consistant à ... compter sur ses doigts. Cette manière d'exécuter dès le CP des calculs rudimentaires grâce au comptage digital forme des élèves ne sachant par cœur aucune des tables d'addition. Le risque est élevé pour ces malheureux de conserver à vie ce handicap, c'est à dire qu'ils ne sauront jamais compter de tête.

Les nombreux exercices d'arithmétique (cf. pochette JPP) faits régulièrement en classe et en famille doivent amener à un apprentissage systématique des tables. L'expérience montre qu'avec un entraînement quotidien, même léger, les élèves les moins doués en calcul parviennent à un niveau de calcul mental
très satisfaisant. Plus tard, l'aisance calculatoire offrira à l'élève la faculté de concentrer toute son attention sur la compréhension des problèmes d'arithmétique ou d'algèbre.

- vocabulaire : Tristan et Iseult (roman médiéval). L'histoire se déroule en Cornouaille, après la chute de l'empire romain, mais avant le couronnement de Charlemagne.
Chap. 1 Naissance de Tristan
in Tristan & Iseult. Livre de Poche 1972. Édition présentée par René Louis

- récitation : Litanie (Maurice Carême) puis nouvelle poésie

LA NEIGE

Qu'il est doux, qu'il est doux d'écouter des histoires,
des histoires du temps passé,
Quand les branches d'arbres sont noires,
Quand la neige est épaisse et charge un sol glacé !
Quand seul, dans un ciel pâle, un peuplier s'élance,
Quand sous le manteau blanc qui vient de le cacher,
L'immobile corbeau sur l'arbre se balance,
Comme la girouette au bout du long clocher !
...
Alfred de VIGNY

- Histoire de France : La Gaule du 1er au 4è siècle -> Les Francs passent le Rhin pour envahir la Gaule.

- dessin : le thermomètre. Nous notons 2 températures essentielles
0° Celsius (l'eau gèle -> glace, ou neige comme aujourd'hui)
100° Celsius (l'eau bout -> vapeur)

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TRAVAIL en FAMILLE

- pas de classe mercredi 24/01/2007

pour jeudi 25 janvier (avec JPP)
- lecture Gafi page 85

pour mardi 30 janvier (avec JPP)
- récitation (la neige) entière

lundi, janvier 22, 2007

SEMAINE 18 : Lundi 22 janvier ( D.M )

- Livre Gafi p 84
- Fichier Gafi p 83
- Ecriture: p 3: le lapin détale dans la clairière.
- Fichier maths p 65
- Vivre ensemble : questions de compréhension sur des documents relatifs au travail des enfants dans le monde.
- Réactivation: description de notre classe.
- Gymnastique
- Sciences : lecture de la leçon;
expériences pour prouver que l'air existe : travail en groupe avec le matériel
suivant : une bassine remplie d'eau, un ballon gonflable, une paille, un bocal, une
feuille de papier;
schémas des expériences sur le cahier brouillon.
- goûter d'anniversaire
- repérer des cases sur un quadrillage: jeu de la bataille navale

devoirs:
pour mardi 23 janvier: revoir p 84 livre Gafi
pour lundi 29 janvier:
sciences : apprendre la leçon sur l'air ( cahier rouge ).
vivre ensemble: relire les 2 feuilles sur les enfants au travail ( cahier violet ).

samedi, janvier 20, 2007

070120 COLLOQUE ÉCOLE PRIMAIRE 7/02 Paris

L'école primaire, une étape fondatrice


colloque 7 février 2007
Institut de France –Fondation Del Duca chez Lire-écrire.org
10 rue Alfred de Vigny –75017 - Paris

> consulter le programme chez Lire-écrire.org

> s'inscrire en ligne

> télécharger un bulletin d'inscription

vendredi, janvier 19, 2007

SEMAINE 17: Vendredi 19 janvier ( D.M )

- livre Gafi p 83
- Fichier Gafi p 82
- Ecriture p 3: livre, miel, colle
- musique: inventer une mélodie pour la comptine des droits des enfants (étudiée en classe).
- Lecture de contes du Moyen-Age.
- Calcul : petites différences.
-Maths: dictée de nombres écrits en lettres au tableau.
Fichier maths p 64.
- Soutien: construction de la maison du "ch".
- EPS: gymnastique.

Devoir pour lundi 22 janvier :
Revoir p 83 du livre Gafi.

jeudi, janvier 18, 2007

SEMAINE 17 / jeudi 18 janvier 2007 (JPP)

- écriture Grosgurin : page 3 "le lait - la lune - le lilas"

- lecture Delile : page 30 "oi de poisson"

- dictée : "il a mis une armure ridicule."

- calcul : 2 + 2 + 2 + 2 = 2 x 4 (4 fois 2)
3 + 3 + 3 + 3 + 3 = 3 x 5 (5 fois 3)
8 : 2 = 4 (8 divisés par 2 = 4)

- analyse : "le soleil brille."

- vocabulaire pratique : (rappel) déca = 10 ; hecto = 100 ; kilo = 1.000
La mémorisation de ces préfixes va bientôt nous permettre d'associer la notation décimale (10/100/1000) aux multiples des unités de mesure (ex. décamètre/hectomètre/kilomètre).

- maths : fichier page 63 "Compter jusqu'à 60". Nous avons travaillé sur la"piste de recherche" et sur l'exercice 1, seulement. À terminer en classe.

- lecture Gafi : page 82 "Prêts ? Partez !"

- fichier Gafi : page 81 (suite et fin)

- dessin en 4 étapes : la bobine de fil

- conjugaison : révision verbes ÊTRE et AVOIR au présent de l'indicatif. Psalmodie, en chœur. J'ai A-I ; tu as A-S ; etc.

- vocabulaire : le féminin des noms. Exercice oral : le maître dit un nom masculin, les élèves interrogés à tour de rôle doivent donner le féminin en ajoutant un "e" au masculin.
(MFR page 26 et 27) Un client/une cliente - un marchand/une marchande - un voisin/une voisine - Louis/Louise - ... etc.

- histoire de France : La Gaule du 1er au 4è siècle. Martyre des premiers chrétiens.

Toutes les leçons se déroulent de la manière suivante. L'ensemble ne dépasse jamais 1/4 d'heure (hors coloriage).

1) Le maître trace rapidement (au tableau noir et à main levée) une ligne du temps horizontale d'environ deux mètres sur laquelle il place comme points de repère l'an 2000, l'an 0, l'an 1000, puis l'an 500 et l'an 1500.
Sur cette ligne, 1 décimètre vaut pour 1 siècle ; 1 centimètre représente 1 décennie. Sur les 100 dernières années le maître place encore une flèche verticale pour figurer l'époque de naissance des grands-parents des élèves, une autre pour celle de leurs parents. Les élèves eux-même sont tous nés en 2000. Ainsi, au fil de l'année scolaire, il deviendra possible pour les écoliers du CP de se construire mentalement une échelle relative du temps et d'y situer les grands événements étudiés.

2) le temps du récit étant fixé, le maître raconte -de la manière la plus vivante possible- une histoire qui développe le chapitre du jour.

3) toute la classe observe dans le détail la gravure correspondante. Interrogés individuellement quelques élèves sont amenés à reformuler le récit.

4) lecture par le maître du résumé qui légende la gravure. Les élèves suivent du doigt la lecture

5) éventuellement coloriage de la gravure.

- natation : 3 groupes habituels (Carine /Michel / MNS)
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TRAVAIL en FAMILLE

pour vendredi 19 janvier (avec DM)
- lecture Gafi page 82

pour mardi 23 janvier 2007 (avec JPP)
- lecture Delile page 31 "b"
- récitation "litanie" entière
- dictée : étape 6 n° 8 "victor a lavé le pavé. la locomotive a été vite (à) la ville."

mercredi, janvier 17, 2007

070117 LES 4 OPÉRATIONS DU CALCUL DÈS LE CP

À lire dans LE MONDE du 17/01/2007

M. de Robien pourrait réintroduire les quatre opérations du calcul dès le CP

LE MONDE | 17.01.07 Un article de Luc CÉDELLE


Après l'apprentissage de la lecture et celui de la grammaire, le ministre de l'éducation, Gilles de Robien, s'apprête à réformer l'apprentissage du calcul à l'école primaire. Saisie le 14 décembre 2006 par le ministre afin de lui "fournir une analyse" à ce sujet, l'Académie des sciences a réuni une commission de spécialistes. Celle-ci doit officiellement lui remettre, le 23 janvier, un avis, dont Le Monde a pris connaissance.

Au milieu de recommandations générales, ce texte va dans le sens d'une possible réintroduction dès le CP de l'apprentissage des quatre opérations, pour lequel les programmes actuels privilégient la progressivité, particulièrement en ce qui concerne la division posée, qui n'est introduite qu'à partir du CE2. Cette éventualité, qui implique une modification des programmes de 2002, suscite des controverses parmi les professionnels de l'éducation et notamment l'opposition de la plupart des spécialistes des instituts universitaires de formation des maîtres (IUFM).

Adopté par un vote "quasi unanime" après d'âpres débats internes, l'avis est résumé en huit points. Le premier point suggère que soit apportée "une attention toute particulière à la formation des maîtres". Le deuxième plaide pour un enseignement du calcul "en étroit contact avec les autres matières". Le troisième insiste sur "la mise en place d'automatismes".


REVERS POUR LE "PÉDAGOGISME"


Le quatrième point, déterminant au regard de ses conséquences sur les programmes, affirme que "l'enseignement du calcul doit commencer par une pratique simultanée de la numération et des quatre opérations, manipulant aussi bien nombres "concrets" (nombre de pommes) qu'"abstraits" (nombre de fois)".

Le cinquième point juge "toutes pertinentes, nécessaires et complémentaires" les modalités que sont le "calcul mental, calcul posé écrit, calcul approché, calcul instrumenté" (avec une calculette), et préconise de "fixer et structurer les connaissances en s'appuyant sur l'écrit".

Le sixième point affirme que "les liens entre géométrie et calcul doivent être introduits très tôt", et souligne que "la recherche cognitive montre l'existence de liens étroits entre la représentation des nombres et celle de l'espace, qui font en partie appel aux mêmes régions cérébrales". Le septième insiste sur "l'importance de la proportionnalité" et préconise "une bonne maîtrise de la règle de trois en fin de primaire". Le huitième rappelle le rôle du jeu dans l'apprentissage du calcul.

L'avis de la commission représente un succès relatif pour les adversaires du "pédagogisme", en premier lieu le groupe de recherches interdisciplinaires sur les programmes (GRIP) : cette association présidée par un membre de la commission, Jean-Pierre Demailly, professeur à l'université Grenoble-I, est soutenue par Laurent Lafforgue, médaille Fields en 2002 - la plus haute distinction internationale en mathématiques.

Sans être entièrement satisfait, M. Demailly considère l'avis comme "une avancée". M. Lafforgue y relève des "éléments positifs susceptibles de remédier partiellement à la destruction de l'enseignement du calcul à l'école primaire dans les dernières décennies", mais juge ces éléments "très insuffisants" et compte diffuser dans les prochains jours "un texte concurrent".

La commission de l'Académie est constituée de Jean-Pierre Kahane, professeur émérite à l'université Paris-Sud (Orsay), ancien responsable de l'International Congress on Mathematical Education (ICME), de Jean-Christophe Yoccoz, médaille Fields en 1994 et professeur au collège de France, de Stanislas Dehaene, mathématicien et psychologue cognitiviste, professeur au collège de France, d'Yves Meyer, professeur à l'Ecole normale supérieure-Cachan, Pierre Léna, délégué à l'éducation et à la formation de l'Académie, astrophysicien à l'université Paris-VII (Denis-Diderot), et de M. Demailly.

Luc CÉDELLE

SEMAINE 17 / mercredi 17 janvier 2007 (JPP)

- écriture Grosgurin : page 2 "le lac - le lit - le chien"

- copie : "la caricature coloriée . une école modèle. la comète a paru. jules a de l'activité."

- analyse : "riquet, énervé, mord Gustave."
Pour la première fois les élèves dessinent eux-même le dessin d'analyse.

- lecture Delile : page 30 entière "OI".
La lecture est faite exclusivement à voix haute, par tous les élèves pris individuellement.

- histoire de France : Vercingétorix se rend à César.

mardi, janvier 16, 2007

SEMAINE 17 / mardi 16 janvier 2007 (JPP)

- écriture Grosgurin : page 2 "l - ll - le lis"

- dictée : "la mule porte le père et la mère. anatole sera timide. l'âne ira à la pature.

- lecture Delile : page 30 "oi de poisson"
les sons étudiés avec Delile depuis septembre
a - i - o - e - u - é - è - ê - s - v - j - l - r - m - f - n - ou - ch - un - est - p - t - c - e(è) - d - e(è) - oi

- mathématiques : fichier page 62 "mesure des longueurs (2)". Utilisation du double décimètre.

- analyse : "le petit garçon porte un lourd paquet." (MFR page 12, ex. 31)
+ quel est le verbe ? (porte)
+ qui est-ce qui porte ? (le petit garçon) -> article / nom de personne / adjectif qualificatif
+ le petit garçon porte quoi ? (un lourd paquet) -> article / adjectif qualificatif / nom

- arithmétique : énumération de 1 à 99
99 est lu "9 dix 9 unités"


- lecture Gafi : page 81 "le concours de pêche"

- fichier Gafi : page 81 (à terminer)

- vocabulaire : L'Odyssée, Ulysse roi (FIN).
Ainsi se termine notre captivante lecture d'Homère. Le prochain récit, tout aussi passionnant, va nous entraîner au moyen-âge avec la légende de Tristan et Yseult.

- histoire de France : en images, à l'usage des tout petits. Claude AUGÉ et Maxime PETIT. Éd. Larousse. Les gravures sont magnifiques, elles servent à provoquer et à développer l'esprit d'observation et forment également une base de coloriage de précision.
Nous étudierons 1 à 2 leçons par semaine jusqu'à la fin d'année.
Aujourd'hui,
la Gaule et les Gaulois.

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TRAVAIL en FAMILLE

pour mercredi 17 janvier 2007 (avec JPP)
- lecture gafi page 81 "Le concours de pêche"

pour jeudi 18 janvier 2007 (avec JPP)
- lecture Delile, page 30 "oi"
- dictée préparée Étape 5 n° 10 "il a mis une armure ridicule."

lundi, janvier 15, 2007

SEMAINE 17: LUNDI 15 janvier (D.M)

- Livre Gafi p 80.
- Fichier Gafi p 80.
- Mathématiques : p 61: construire la maison du 10. Les compléments de 10.
- Ecriture: p 1: e, x, s.
-Lecture d'entraînement: savoir différencier les sons [t] et [d].
- Pas de sport exeptionnellement aujourd'hui, Mr Thonier n'étant pas disponible.
- Observation d'un gland avec un germe.
-Dessin libre + atelier bibliothèque.
-La piscine étant à nouveau le jeudi, je recommence donc l'étude des sciences:
Aujourd'hui, discussion sur l'air:
Qu'est-ce qu'il y a tout autour de nous ?
Qu'est-ce que l'air ?
Comment peut-on savoir que l'air existe dans la nature ?

Devoir:
Lecture, pour mardi 16 janvier: revoir p 80 livre Gafi.

vendredi, janvier 12, 2007

070112 CALCUL, LA GUERRE DES MÉTHODES...

Le ministre de l'Éducation nationale a signé jeudi la nouvelle circulaire de réforme de la grammaire, et il s'apprête à faire de même avec le calcul.

Journal de 20 heures (TF1), jeudi 11 janvier 2007. Voir le reportage.

Avec la participation de Marc Le Bris, instituteur SLECC (Savoir Lire, Écrire, Compter et Calculer) et celle de Ghania Brown, professeur des écoles.

SEMAINE 16: Vendredi 12 janvier ( D.M )

- Livre Gafi p 78 et 79.
- Fichier Gafi p 78.
- Calcul : prendre des nombres < ou = à 60 et :
effectuer de petites différences;
écrire le plus grand des 2;
petit des 2.

- maths: fichier p 60.
- musique: effectuer des rythmes avec des instruments.
- écriture: p1: o, a,d, q.
- EPS: gymnastique.

Devoirs pour lundi:
Lecture: revoir livre Gafi p 78 et 79.
Calcul : dictée: prendre 2 nombres < ou = à 60 et écrire le plus grand ;
" " " " petit;
Faire cet exercice 5 fois.

070112 COOPÉRATIVE SCOLAIRE

Quelques familles ne nous ont pas encore donné réponse au sujet de leur participation à la coopérative scolaire.

La cotisation annuelle est de 10 €.
Cette cotisation (facultative) est payable - par chèque uniquement - à l'ordre de
CCP n° 465 68 Z Clermont-Fd

jeudi, janvier 11, 2007

SEMAINE 16 / jeudi 11 janvier 2007 (JPP)

- écriture Grosgurin : révision des lettres étudié au 1er trimestre "r - p - c"

- lecture/écriture Cuissart : leçon n° 10 et leçon n° 11. Les pages sont maintenant lues avec beaucoup de fluidité. On s'attache à épeler les mots de mémoire. Quelques mots écrits sur l'ardoise, sous la dictée du maître.

- dictée : (cahier de classe). Étape 5 n° 8, la parole du père - la pilule amère - adèle épèle le modèle.

- dessin en 4 étapes : l'oiseau
+ frise sur le cahier de classe

- numération de position : on feuillette notre fichier de mathématique pour lire à haute voix et à tour de rôle les numéros des pages. La pagination en gros caractères rouges se prête bien à cet exercice rituel que nous pratiquerons chaque semaine jusqu'à Pâques. On lit de la manière suivante
1 dix - 1 unité au lieu de "onze", ... 2 dix - 3 unités au lieu de "vingt-trois", etc jusqu'à 9 dix 9 unités.

- maths : fichier page 59 "passage à la dizaine"

- lecture Delile : page 29 "e->è comme dans lunettes". Lecture individuelle de la première partie. Découverte de la seconde partie de la leçon.

- copie : mots de Cuissart leçon 11, réparé - opéré - animé - épi - numéro

- histoire : la préhistoire (1). Nous observons une hache en silex poli (environ 5.000 ans avant J.C.).

- lecture Gafi : page 77 "ch"

- fichier Gafi : fin de la page 77

- piscine : retour de la piscine le jeudi !
départ de la classe à 14h05 (dans l'eau de 14h20 à 15h00), retour en classe à 15h30. Groupe d'Edgar, groupe de Carine, groupe de Michel.

- récitation :

Litanie des Écoliers, de Maurice Carême
Saint Anatole,
Que légers soient les jours d'école !

Saint Amaffait,
Ah! que nos devoirs soient bien faits !

Sainte Cordule,
N'oubliez ni point ni virgule !

Saint Nicodème,
Donnez-nous la clé des problèmes !

Saint Tirelire,
Que grammaire nous fasse rire !

Saint Siméon,
Allongez les récréations !

Saint Espongien,
Effacez tous les mauvais points !

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TRAVAIL en FAMILLE

pour vendredi 12 janvier 2007 (avec DM)
- lecture Gafi : relire page 77

pour mardi 16 janvier 2007 (avec JPP)
- lecture Delile page 29, entière
- récitation : Litanie des écoliers -> retenir dans l'ordre la liste des prénoms (Anatole, Amaffait, Cordule, Nicodème, Tirelire, Siméon, Espongien)
- dictée préparée : Étape 5 n° 9 (une, deux ou trois phrases selon la force)
la mule porte le père (et) la mère. anatole sera timide. L'âne ira (à) la pature.
les mots entre ( ) sont donnés à l'élève. Il faut bien articuler toutes les syllabes

CONSEIL pour la préparation des dictées : n'hésitez pas à faire recopier régulièrement une phrase du texte de la dictée sur l'ordinateur à l'aide d'un traitement de texte simplifié (Wordpad sous Windows, TextEdit sous Mac). Police Arial ou Times, gros corps de caractères. Enregistrez un fichier au nom de votre enfant et, de temps en temps, imprimez pour matérialiser son travail et le faire se relire.

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